mercredi 15 juillet 2015

Il n’y a rien à attendre de François Hollande - La monnaie unique, c’est le problème de la Grèce !


Lundi 13 juillet, les dirigeants européens ont imposé au gouvernement Tsipras la loi féroce des créanciers.

Bruxelles serait-elle devenue le nouveau Kremlin européen ?

François Hollande, Angela Merckel et les dirigeants européens veulent faire rendre-gorge aux grecs qui ont dit Non lors du référendum du 5 juillet 2015. La France n’a rien fait pour empêcher la mise sous tutelle de la souveraineté nationale de la Grèce. Au contraire, avec le corset de fer de l’Euro, François Hollande a confirmé le choc des réformes qui vaut autant pour Paris que pour Athènes.

A gauche, il n’y a rien à attendre de François Hollande. Il vient de donner le baiser qui tue à Alexis Tsipras.

Une grave crise politique de déstabilisation s’ouvre en Grèce. Son ampleur va être d’une brutalité inouïe. Il y aura du sang et des larmes.

Plus que jamais, il faut se libérer de la monnaie unique, dire non à cette Europe du capitalisme financier cynique et sans pitié pour les peuples.

L’Europe est faite de Nations. Les peuples sont trahis, bafoués dans leur identité, ignorés dans leur colère. Ce sont les conséquences des atteintes à leur souveraineté.

Cette situation constitue un cocktail des plus explosifs et ouvre la voie à toutes les dérives dangereuses qui vont nourrir les extrêmes-droites.

Devant ce désastre annoncé, en ma qualité d'ancien parlementaire communiste, je dirais Non à l’Assemblée nationale.

Nous devons entrer en résistance, c'est la seule façon de préserver l’avenir.

mardi 14 juillet 2015

Face à l’islamisme, la République ne doit pas trembler !

Marianne


C’est un texte important, capital même, que nous publions ci-dessous. Il a pour objectif de faire entendre la voix de cette majorité dite "de culture musulmane", qui rejette l’islamisme et revendique la laïcité et l’universalisme. Contrainte au silence par la menace, les pressions, les compromissions, elle veut aujourd’hui réaffirmer son existence et ses convictions auprès des pouvoirs publics, des politiques, de l’opinion. Ce que pensent les personnes qui ont signé et signeront cet appel est aujourd’hui systématiquement nié, non seulement par les islamistes mais aussi par leurs complices conscients ou inconscients. A "Marianne", nous considérons comme nos compagnons de route les plus exposés de ces femmes et de ces hommes de parole. Nous savons que, dans leur sillage, s’inscrit la multitude des âmes libres. A l’heure des tragédies qui menacent nos valeurs, l’écouter constitue une urgence vitale...


>>> Vous souhaitez signer cet appel ? Cliquez ici

vendredi 10 juillet 2015

Vernissage de l’œuvre murale de Bruce Clarke / Rencontre- Dédicace avec l’artiste

L’artiste plasticien Bruce Clarke a été accueilli en résidence à Vénissieux durant un mois. A cette occasion, il a réalisé une œuvre murale avec la participation de Vénissians.

Michèle Picard, maire de Vénissieux, conseillère métropolitaine, Bayrem Braiki, adjoint délégué à la culture, aux finances et au développement numérique, et l’équipe municipale vous invitent à son vernissage

Dimanche 12 juillet à 18h00

Angle de avenue Pierre-Sémard et rue Eugène-Maréchal

Cet événement sera suivi d’une rencontre-dédicace avec l’artiste autour de ses œuvres, à 18h30 au Parc Louis-Dupic. L’occasion de découvrir ou redécouvrir en particulier, le livre d’entretiens de Michèle Picard, « Alors, maintenant que la lutte soit belle… », auquel il a participé.

dimanche 5 juillet 2015

Un air de liberté flotte sur Athènes

Le peuple grec a dit Non, de manière massive, à cette Europe de la finance qui a mis en pièces son pays. Il a dit Non à l’austérité qui l’étrangle depuis trop longtemps déjà.

Par ce vote négatif, les grecs ont redonné leur dignité à l’ensemble des peuples européens. Ils ont rompu avec l'austérité imposée par les créanciers depuis 2010. Ils ont mis grand coup de pied au derrière de François Hollande, d’Angela Merkel et de Sarkozy qui a violé le Non au référendum de 2005.

La Grèce vient de faire un pas décisif vers sa liberté. Elle a repris en main son avenir car il n’y a pas de fatalité à vivre dans ce corset de fer de l’euro. Par son vote négatif, elle nous offre une perspective de remise en cause de la dictature de la finance.

Les grecs sont les nouveaux insurgés de 2015, à l’image de ceux de 1848 qui se sont soulevés pour défendre leur vie.

J’en suis très heureux car cet événement n’est qu’une prémisse.