L’attentat de Nice sur la Promenade des Anglais le 14 juillet est le carnage de trop, il sonne le tocsin. Non, rien ne peut plus être comme avant. Nous ne pouvons plus continuer à vivre comme si de rien n’était. Nous avons tous pris conscience que le pire est peut-être devant nous. C’est le sentiment qui prédomine au lendemain de cette tragédie.
Ces massacres, au nom de la haine de la France, doivent de toute urgence, déboucher sur une mobilisation de la Nation tout entière. Un diagnostic vital reste à réaliser. Il s’impose avec force aux autorités du pays.
J’ai l’intime conviction que notre société renferme des germes de guerre civile. Le terreau est favorable au terrorisme qui lui-même est lié aux trafics de drogue, aux mafias et à la misère endémique. Oui, je le dis et le redis haut et fort, la France est gangrenée par l’islamisme. Un débat démocratique s’impose plus que jamais avec une exigence de dignité républicaine pour toute la classe politique. Le moment est venu d’ébranler nos certitudes ainsi que nos dérisoires et ridicules querelles politiciennes.
La réponse doit contenir les moyens sans précédent que nous devons consacrer pour réduire les risques d’attentats sur notre territoire, dans les années à venir. Car, nous le savons, l’ennemi est immergé au sein de la population de nos villes. C’est bien là le dilemme national auquel nous devons faire face. Il nous impose de le placer en tête de toutes nos priorités.
Peur et exaspération face à l’impuissance et l’hypocrisie peuvent conduire à des violences et à l’éclatement de la communauté nationale.
De l’audace, du courage politique et de la fermeté, c’est ce qu’attendent les français. L’impératif du retour à l’autorité régalienne de l’État est à l’ordre du jour : ne rien laisser passer, tolérance zéro, ça va des incivilités aux actes criminels, au non-respect de la loi dans tous les lieux et pour tous les domaines.
Je crois que la République nous appelle parce que nous avons mal à la France. C’est le moteur essentiel pour ressouder tout le pays. L’identité de la France est notre combat républicain d’aujourd’hui. C’est notre combat vital.
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RépondreSupprimerC'est une erreur de manipulation.
Supprimerle voici :
Bonjour Monsieur GERIN
Je lis votre blog depuis peu, et j’approuve votre bon sens en ce qui concerne les causes du terrorisme.
Mais les solutions que vous proposez sont inefficaces. Car le « débat démocratique » conduit précisément à la situation actuelle. La médiocrité suit et élit presque toujours des imbéciles.
Ces imbéciles criminels, de Pompidou à Hollande et leurs sbires, sont de grands corrompus qui ne se sont jamais souciés du peuple. Sous deux prétextes de pure cupidité, ils nous ont noyés sous une immigration insupportable et inassimilable, « l’huile et l’eau » dont parlait DE GAULLE :
Faire baisser les salaires des Français,
Créer une croissance artificielle par une immigration payée par les Français.
Ce qui aboutit au terrible constat d’aujourd’hui : une France ruinée, pillée, vendue, et même plus maître chez elle. Même la police et l’armée sont infiltrées par des terroristes qui peuvent provoquer des catastrophes. Dans le cas présent, nous n’éviterons pas la guerre civile, d’autant moins qu’elle est dirigée de l’étranger par des barbares dont le but est son extension mondiale, pour imposer leurs pauvres principes.
Ma conviction est qu’au nom des valeurs de JUSTICE que porte « l’extrême gauche », la France ait recours à la FERMETE prônée par « l’extrême droite ». Autrement dit, que le chef de la France soit élu par l’association des électeurs de ces deux tendances, comme DE GAULLE fut suivi par ces deux faces de notre peuple, grâce auxquelles nous finîmes par triompher.
Au lieu que le chef de notre grande France soit une limace gluante collée au profit, élue par les moutons qui votent umps et centre.
Ainsi, à côté des mesures protectionnistes rapatriant la production Française pour rendre à notre peuple la richesse qui lui est due, à côté des mesures anti parasitaires, rendant la richesse au Travail qui la produit, la solution pour éviter le terrorisme, la guerre, l’effondrement, est, parallèlement à une répression efficace, une parité d’immigration, et une coopération directe avec les pays sous développés, afin de les amener à une prospérité, débouchant sur des échanges fructueux pour tous.
TERRANOVA
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RépondreSupprimerMerci de me dire pourquoi. Salutations : terranova
M Gerin,
RépondreSupprimerJe salue votre lucidité: haine de la France, germes de guerre civile, ennemi immergé au sein de la population de nos villes. Cependant, je pense que l'erreur est d'analyser la situation actuelle en terme de guerre civile justement. Il y a 80 ans débutait la guerre d'Espagne. C'était une guerre civile: un même peuple déchiré entre 2 projets politiques.
Aujourd'hui en France, il ne s'agit plus de cela mais plutôt d'une guerre coloniale, opposant les pieds-verts aux indigènes. Ce n'est pas la Nation qui est déchirée, il y a un 2ème peuple en train de s'installer sur le sol du premier, et qui veut y vivre selon les règles de sa civilisation. La différence entre cette colonisation et les précédentes (celles que nous avons menées en Afrique par ex), c'est que la phase de peuplement a précédée la phase de conquête et de violence.
L'avenir pour nous, indigènes, sera la soumission ou la lutte de libération nationale.
cordialement.
JMT
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